Inter’Action#8 - Décembre 2015
C’était très étrange de devoir quitter mon pays adoptive l’Italie oui pour moi ça l’es bien.
Ce nouveau quotidien auquel je m’étais faite habituée c’était pour moi comme une nouvelle vie que j’entreprenais comme ci que je n’allais jamais vraiment la quitter après ces 3 mois c’était la France qui me paraissait inconnue, nouvelle quelqu’un d’autre.
Après cette expérience je quitte des amis chers ma nouvelle famille j’ai eu des rencontres incroyables chaque matin j’avais la banane de savoir que j’étais encore la ne serait ce que de me dire que j’avais encore cette belle journée devant moi m’amenais à un sentiment d’aventure !
Pour moi nous avons une chance inouïe d’habiter en Europe que les frontières soit aussi ouverte que l’on puissent voyager a « notre guise » chaque jeune de maintenant devrait prendre le temps de faire ce genre d’expérience à la fin de son cursus scolaire, de faire une sorte de break pour mieux ce retrouver je ne sais pas si tout le monde le ressens mais je trouve sa intéressant sur la phase de transition à laquelle on est confronté ce grand passage à l’âge adulte surtout pour ceux qui ont le syndrome de Peter Pan comme moi ca ne peut être qu’enrichissant ca permet de ce responsabiliser mais d’une manière agréable par le biais de nouvelle expérience ce retrouver avec son soi même de ce découvrir plus par le biais de nouvelle expérience en sortant de son quotidien d’être loin de ses proches loin de sa vie d’origine sans parler de tout ce qui l’entourera à coté pour mettre un point final cela valorise réellement intérieurement
Maintenant je sais que j’ai une famille qui se balade un peu partout sur le continent je pense à eux très souvent
Ce vediamo un altra volta petit message pour eux ;)
Inés Bachir
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- · Café péda « Cirque et Théâtre social »
- Mercredi 9 décembre 18:30-20:30 // CEMEA Pays de la Loire // plus d'infos
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- · Délégation Palestine
- Du 27 décembre 2015 au 7 janvier 2016 // Palestine // plus d'infos
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Messages de nos amis palestiniens
Automne 2015, l’état israélien renforce encore une fois la répression en Palestine. Vivant au quotidien cette situation, nos partenaires, amis, compagnons de routes nous envoient un message audiovisuel. Vous les trouverez dans l’article ci-dessous.
Interview de Naji Owdah, coordinateur de l’association Laylac du camp de Deheisheh.
Interview de Aysar Al Saifi, militant de l’association Laylac du camp de Deheisheh.
Pour en savoir plus sur l’association Laylac : (...)
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Passage à l’aéroport
L’arrivée à l’aéroport Ben Gourion
5h de vol. Atterrissage. On remballe magasines et bouteilles d’eau.
L’arrivée à Ben Gourion, on en parle depuis plusieurs semaines. On a répété notre discours comme on prépare un oral à la fac. Faire les touristes idiotEs, parler des clubs de Tel Aviv et des plages d’Eilat. Répondre par des phrases courtes. Mentir le moins possible, pour ne pas s’embrouiller. CertainEs d’entre nous l’on déjà vécu, pour d’autres c’est la première fois. Mais on l’appréhende touTEs un peu. (...)
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Les premiers jours à Dheisheh
« Alors, c’est comment sur place ? C’est dangereux ? »
Après quelques jours passés à Nablus, nous voici arrivéEs à Dheisheh, près de Bethléem, où nous allons vivre un an.
Prendre le taxi collectif. Ne pas se faire comprendre sur la destination. Rameuter tous les potentiels anglophones du coin. Comprendre qu’on s’exprime vraiment très mal avec nos trois pauvres mots d’arabe.
Laylac, petit immeuble de trois étages qui abrite l’association et sa guest house, situé à l’entrée du camp de réfugiés en bordure (...)
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Mes premières semaines à Naplouse
Cela va faire 3 semaines que je suis arrivé en Palestine. En échangeant avec mes proches en France, une question était plus présente que les autres : « C’est pas trop dangereux où tu es ? »
Je commence maintenant à bien m’habituer à la vie ici. Je suis loger à Naplouse. Une grande ville de Palestine. La ghest house où je loge, se trouve près du centre ville. Pour l’instant, je n’ai ressenti que très peu de pression ici. Mal grès cela, la politique est quand même omniprésente, dans les discussions ou encore (...)
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