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Délégation de découverte de la Palestine (Déc. 2013 / Janv. 2014)

  • La moitié de la planète pour deux centimes d'euros
    • 11
    • jan.
    • 2014

    Rencontres et visite à Silwan : quelques mots sur le processus de colonisation à Jérusalem-Est

    Visite de Silwan et rencontre avec l’association Wadi Hilweh Information Center Ce texte fait suite à la visite du village palestinien Silwan, situé à deux pas de la vieille ville de Jérusalem.. Il a été écrit 10 jours après la visite, et s’appuie donc sur des souvenirs. Il n’a pas pour but d’être objectif, et relate ce que j’ai compris de la situation. Il contient donc sûrement des inexactitudes. Il est écrit avec l’émotion à la fois vécue sur moment, ajoutée à l’état dans lequel je me sens au retour de (...)
    • 8
    • jan.
    • 2014

    Le retour

    Voilà déjà 5 jours que j’ai quitté le territoire palestinien, 5 jours pendant lesquels mon quotidien d’occidental est revenu à vitesse grand V. Tous les petits soucis que j’avais laissés de coté en partant en Palestine commencent à revenir. La rupture avec ma vie à Nantes m’a fait du bien, un voyage d’une semaine qui permet de couper un peu les ponts avec la réalité pour se ressourcer et être prêt à attaquer de nouveau. Je pourrais reprendre ma vie d’avant comme si rien ne s’était passé, D’ailleurs entre (...)
    • 4
    • jan.
    • 2014

    Rencontre avec une jeune israélienne à "Nevé Shalom - Wahat as-Salam"

    Vous trouverez ci-dessous le témoignage d’une personne habitant « Nevé Shalom - Wahat as-Salam ». Les propos qu’il contient n’engagent que la personne qui les tient. À la lecture du témoignage, nous sommes plusieurs contributeurices du blog, dont celle qui a recueilli le témoignage, et militantEs des CEMEA à nous interroger sur ce type de projet. Nous nous demandons, notamment, s’il ne s’agit pas d’une forme de normalisation, tendant à faire accepter la situation actuelle de la Palestine et à faire (...)
    • 3
    • jan.
    • 2014

    Tourists in the old city

    On a voulu limite se la jouer touristes : aller changer de l’argent, acheter des trucs à ramener aux copains-copines, à la famille... Nous sommes vendredi, il est presque 17h : les magasins sont en train de fermer, faut pas traîner. On remonte notre rue : le change en bas de Damascus Gate est fermé. On trace sur la Via Dolorosa : que dalle. On essaye de remonter la rue, mais la nuit tombe, le shabbat approche, des hordes de gen-te-s vêtu-e-s de noir descendent vers le mur des lamentations, sans (...)
    • 2
    • jan.
    • 2014

    Rencontre avec A., enseignant dans un village palestinien près de Naplouse

    En Palestine, il y a trois écoles : l’école dans les camps de réfugiés, dont les fonds de fonctionnement viennent de l’UNRWA, l’école publique dans les villages palestiniens, financée par le gouvernement palestinien et l’école privée. En ce moment, les enseignants sont en grève pour plusieurs raisons. un financement de misère pour acheter le matériel pédagogique, se fournir en eau et électricité, un équipement vétuste, des salles inadaptées pour l’enseignement, un effectif par classe pouvant aller jusqu’à (...)
    • 1er
    • jan.
    • 2014

    Paroles de M., travailleur social au camp de New Ashkar, Naplouse

    Face à ce qui nous rive, nos réactions se mélangent entre tristesse,larmes dans les yeux, sourire et rire. Que pouvons-nous faire ? C’est du stress face à notre futur. Parce qu’ils ont tout ce qu’ils veulent. Nous, rien. Alors oui, on organise plein de choses, bien qu’on soit des réfugiés. On essaie de tout faire pour que les gens se sentent mieux et pour les enfants, dans notre centre : boxe, karaté, théâtre, dapké (danse palestinienne)... Parce que les enfants en ont besoin, ils n’ont pas de place, (...)
    • 31
    • Dec.
    • 2013

    En grève contre les Nations Unies

    Ce dimanche matin 29 décembre 2013, on a rencontré les grévistes du camp de Deishe, pour leur apporter notre soutien et mieux comprendre leurs revendications. Y., enseignant en grève de la faim, nous a tout d’abord fait quelques rappels historiques, fort utiles, sur le statut des camps de réfugiés et les conditions de vie des habitants et employés. Quelques années avant 1948, les Palestiniens subissent les attaques de mouvements sionistes, ils ne peuvent résister car ce sont des agriculteurs qui (...)
    • 31
    • déc.
    • 2013

    Rencontre avec Hussein Al-Haraj, chef de cabinet du Président Mahmoud Habass

    Résumé des déclarations Hussein Al-Haraj commence par nous remercier de notre venue en Palestine, trouvant très important que l’on voit, que l’on touche la réalité de son pays et que l’on en témoigne. Il s’excuse de son retard, dû au fait que les prisonniers palestiniens aient été libérés plus tard que prévu et qu’il se devait d’être présent à cet événement. Il nous explique que les prisoniers ont tous fait plus de 22 ans de prison israélienne, certains ayant été privés de liberté jusqu’à 28 ans ! La situation (...)
    • 31
    • déc.
    • 2013

    La Shuhada Street d’Hebron

    En ce dernier jour de 2013, nous nous sommes renduEs à Hebron, cette ville au sud de Jérusalem, qui a la particularité d’être divisée non pas comme le reste de la Palestine en 3 zones (A,B,C), mais en 2 zones H1, qui est en théorie sous autorité palestinienne et H2, sous autorité israélienne. Nous arrivons, vers la vieille ville, un check point limite à certainEs l’entrée de la rue, où en interdit même l’accès à d’autres. Cette rue, c’est la Shuhada Street, autrement appelée rue des martyrs. L’armée (...)
    • 29
    • déc.
    • 2013

    Murs et colonies à Bethléem

    Nous montons tous dans un service, minibus palestinien et sortons de Bethléem. Nous longeons le poste de police de l’autorité palestinienne, par lequel ont transité plusieurs résistants palestiniens avant d’être envoyés dans une prison à Jéricho. Puis après quelques lacets, nous découvrons sur notre gauche quelques collines, où se trouvaient des agriculteur-rice-s. Temps à l’imparfait car maintenant, il n’y en a plus. Les israélienNEs ont détourné l’eau de la source, les agriculteur-rice-s n’avaient plus (...)
    • 29
    • déc.
    • 2013

    De Jérusalem à Bethleem

    Avec mon petit groupe, nous quittons l’hôtel Hebron et la vieille ville de Jérusalem en début d’après-midi, ce samedi 28 décembre. Le soleil nous quitte aussi et des grosses gouttes de pluie viennent perler nos visages. Le temps de négocier un shawarma pour remplir nos estomacs, et nous essayons de trouver le bon bus pour Bethleem. Le bus 21 y va directement sans s’arrêter au check point : les Israéliens souhaitent en effet ne pas renvoyer une image trop négative aux nombreux touristes, notamment (...)
    • 29
    • déc.
    • 2013

    Journée deux : les contrastes de Jérusalem

    J’arrive enfin avec une autre partie de la délégation à Jérusalem. Le plus éprouvant n’est pas forcément de passer la douane ou de trouver une navette acceptant de nous déposer à la porte de Damas, entrée du quartier arabe, mais bien d’accéder à l’hôtel Hébron à travers la foule avec presque quinze kilos sur le dos. Le fourmillement de cette ville rend la religion et ses pratiquants très dépaysants. Une rapide pause et nous retournons prendre un bain de religion en direction du mur des lamentations. Deuxième (...)
    • 28
    • déc.
    • 2013

    Première journée : Jérusalem

    26 décembre 2013 On est cinq. Trois personnes sont arrivées aux alentours de minuit, les deux autres vers 5 heures le matin. Nous nous rejoignons à l’hotel à Jérusalem. Les dernierEs sont accueillies par les premierEs arrivéEs, on se raconte notre passage à l’aéroport et nous décidons de partir prendre un petit déjeuner dans la vieille ville. P’tit dej dans la vieille ville Le lieu que nous choisissons pour cela est un café dans lequel nous savons que nous pourrons rencontrer A. Nous souhaitons (...)
    • 27
    • déc.
    • 2013

    La moitié de la planète pour deux centimes d’euros

    Mais quelle est donc cette pièce si commune que l’on trouve dans le recoin de notre porte monnaie utilisée aussi comme logo de la banque d’Israël ? Dorée, marquée du nombre 10, on pourrait croire qu’il s’agit une pièce de 10 shekels. Que nenni ! En réalité, elle ne vaut que la modique somme de 10 centimes de shekels soit 2 centimes d’euros, vraiment pas grand chose au final. Mais pourquoi en faire un article surtout si comme nous, vous y voyez un chandelier sur une grosse patate ? Quand on s’y penche (...)
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